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Nos prestations couvrent notamment :

Nous travaillons en lien étroit avec les conseils habituels de l’entreprise (experts-comptables, commissaires aux comptes, avocats partenaires), dans une logique de partenariat long terme. Notre priorité : permettre aux dirigeants de prendre des décisions éclairées, dans un cadre fiscal maîtrisé et pérenne.


Questions

La circulation de trésorerie entre sociétés d’un même groupe peut être organisée par différents leviers juridiques et fiscaux :

  • Conventions de gestion de trésorerie ou de cash-pooling, avec centralisation ou compensation des flux
  • Avances en compte courant, sous réserve de recourir à un taux d’intérêt de marché et d’éviter de s’inscrire dans un montage abusif
  • Distribution de dividendes, optimisée via le régime mère-fille
  • Refacturations intragroupe encadrées par des conventions de services, à valeur économique justifiée
  • Fusions ou opérations de restructuration si une rationalisation plus structurelle est souhaitée

Nous vous aidons à mettre en place des outils sécurisés et adaptées à vos besoins.


L’entrée d’un nouvel associé dans une société familiale – que ce soit par cession de titres, augmentation de capital ou apport – soulève plusieurs enjeux fiscaux à anticiper :

  • La fiscalité du cédant : le régime de droit commun (flat tax ou barème progressif avec abattement), sous réserve de l’éligibilité à certains régimes de faveur
  • Les droits d’enregistrement : les cessions de titres sont soumises à des droits proportionnels
  • La structuration de l’opération : soit une cession sèche, soit une opération sur le capital
  • Le respect des pactes et engagements existants : l’entrée d’un associé externe peut remettre en cause certains dispositifs fiscaux (notamment un Pacte Dutreil) ou nécessiter l’aménagement des statuts ou pactes d’associés pour préserver l’équilibre familial

Nous assistons nos clients dans la structuration sécurisée de l’entrée d’un nouvel associé, en intégrant les dimensions fiscales, juridiques et patrimoniales propres aux groupes familiaux.


Un transfert de siège social à l’étranger est considéré, sur le plan fiscal, comme une cessation d’activité en France, sauf maintien de l’établissement stable. Cela implique :

  • L’imposition immédiate des plus-values latentes, notamment sur les actifs immobilisés
  • L’exigibilité immédiate des bénéfices en sursis d’imposition, des provisions, et des plus-values nettes à long terme
  • Des obligations déclaratives spécifiques
  • Des conséquences sur les retenues à la source, la TVA et les obligations comptables, selon le nouveau pays d’accueil

Nous intervenons en amont pour identifier les conséquences et risques fiscaux, proposer des solutions d’atténuation si possible. En outre, nous pouvons vous accompagner dans la réalisation de la procédure vis-à-vis des autorités françaises pour garantir l’efficacité du transfert de siège.


Nos autres domaines d'intervention

Compliance et déclarations

Contrôle et contentieux

Entrepreneurs et groupes familiaux

Immobilier: investissement et patrimoine

Planification successorale et successions internationales

Régie patrimoniale

Rémunération des salariés et dirigeants

Situations internationales

Transfert de résidence